LES REVUES

L'École française de Rome publie un périodique, les Mélanges de l'École française de Rome, divisé depuis 1974 en trois séries : Antiquité (MEFRA), Moyen Âge (MEFRM), Italie et Méditerranée modernes et contemporaines (MEFRIM), à compter de deux livraisons annuelles chacune. 

Les MEFRA publient des articles portant sur l’histoire, la culture et l’archéologie des mondes anciens en Méditerranée, en particulier en Italie, en Afrique du Nord et dans les Balkans, mais portant également sur les interactions entre cet espace et le reste du monde antique. Ils publient aussi des dossiers thématiques en lien avec les fouilles et les programmes scientifiques de l’EFR, et plus généralement des études relevant de diverses disciplines (histoire, archéologie, archéométrie, épigraphie, philologie, droit etc.), de la Préhistoire à la fin de l’Antiquité.

Les MEFRM ont constitué, de 1971 à 1988, une série commune avec les Temps Modernes et, depuis 1989, une série indépendante avec deux fascicules annuels. Ils proposent des contributions scientifiques originales dans les domaines de l’histoire, de l’archéologie et des sciences sociales sur l’Italie et la Méditerranée du haut Moyen Âge à la Renaissance. La plupart des fascicules contiennent un dossier thématique coordonné par un spécialiste. Les articles, qui comprennent souvent l’édition de sources inédites et des cahiers iconographiques, illustrent les divers champs de la médiévistique contemporaine. Ils sont publiés en français, en italien et en anglais, avec des résumés dans la langue de l’auteur et en anglais.

Les MEFRIM publient des articles d’histoire moderne et contemporaine portant sur l’histoire de l’Italie, de la Méditerranée et ses interactions avec la péninsule italienne, des relations et des échanges franco-italiens. Compte tenu des fonds romains, la revue accorde une place importante à l’histoire de Rome, de l’Église et de la papauté tout en couvrant tous les domaines disciplinaires. Elle est ouverte au droit et aux sciences sociales, en particulier à la géographie, à la sociologie et aux sciences politiques. Elle publie des dossiers thématiques en lien avec les programmes scientifiques de l’École et des sources.

La Chronique des activités archéologiques de l’École française de Rome apparaît en 1984, dans le volume 96-1 des MEFRA (Mélanges de l’École française de Rome. Antiquités). On y trouve une présentation des activités de l’année précédente, qu’il s’agisse des résultats préliminaires des campagnes de fouilles conduites par l’EFR ou par des équipes françaises en Italie, en Afrique du Nord et dans les Balkans, des colloques et des séminaires, ainsi qu’une présentation des publications. À partir de 1986, on trouve également une Chronique des activités archéologiques pour le Moyen Âge dans les Mélanges de l’École française de Rome-Moyen Âge Temps Modernes (volume 98, 2). Progressivement, ces deux livraisons annuelles de la Chronique sont limitées au compte-rendu des opérations archéologiques (fouilles, prospections, étude de matériel, préparation de publication). Depuis 2012, la Chronique des activités archéologiques de l’École française de Rome sort des MEFRA et des MEFRM pour devenir une nouvelle revue électronique (CEFR), dans laquelle les responsables d’opérations auxquelles l’EFR est associée ou conduites par des équipes françaises en Italie, en Afrique du Nord et dans les Balkans, présentent les résultats préliminaires de leurs recherches archéologiques, de la Préhistoire à la fin du Moyen Âge. Depuis 2012, la Chronique des activités archéologiques était une revue à part entière accessible uniquement en ligne également sur le site de journals.openedition.org/cefr, elle cesse à partir du 1 janvier 2021 d’être alimentée et reste accessible. Les rapports des campagnes des fouilles seront désormais publiés sur le Bulletin archéologique des Écoles françaises à l’étranger.

Normes éditoriales pour les Mélanges en ligne

Les auteurs sont invités à suivre les normes rédactionnelles téléchargeables dans le format PDF sur le site des publications : ici

 

 

 

Charte nationale de déontologie des métiers de la recherche

L’École française de Rome a adopté la Charte nationale de déontologie des métiers de la Recherche signée par la CPU et sept établissements de recherche (CNRS, INSERM, INRA, INRIA, IRD, CIRAD, Institut Curie) lors de la Commission Recherche du 29 juin 2015. Elle souhaite ainsi s’insérer dans une déclinaison nationale des principaux textes internationaux dans ce domaine.

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