Il travaille dans divers fonds d’archives dédiés à la musique à Rome au 20e siècle en vue de la publication d’une monographie pour Bloomsbury Academic sur l'effervescence de l’improvisation libre à Rome dans les années 1960. Il travaille en particulier sur des groupes tels que le Gruppo di Improvvisazione Nuova Consonanza (Franco Evangelisti, Ennio Morricone) ou Musica Elettronica Viva (Frédéric Rzewski, Alvin Curran). Avec ce cas d’étude, il vise à montrer comment la créativité musicale dans ces cercles d’avant-garde – malgré le paradigme persistant du génie individuel – est un phénomène collectif impliquant des acteurs humains mais aussi non humains (institutions, technologies, concepts).